Les festivals dressent un premier bilan mitigé de la reprise. Entre aléas climatiques et une offre surabondante, une réflexion profonde doit être menée sur le modèle économique des festivals.

Les deux actionnaires du festival, aux compétences complémentaires, ont la volonté de se développer dans le live. Ensemble ou séparément.

Lauréates du programme “Services numériques innovants” lancé par le ministère de la Culture, deux initiatives entendent mesurer l’empreinte carbone des événements musicaux.

Après Blaye, ce sont les écoles de musique de Langon et d’Ardèche qui sont menacées de fermeture. Cela traduit d’une incompréhension entre les conservatoires et les pouvoirs publics.

Avec l’avènement du streaming et la disparition progressive du lecteur CD, les rayons “musique” des bibliothèques semblent bien proches de la disparition.

Les salles de concert voient leurs factures d’énergie augmenter en moyenne de 300 %. Elles en appellent à un soutien urgent du gouvernement.

Cet été, à cause du Brexit, les artistes britanniques étaient moitié moins nombreux à donner de la voix dans l’Union européenne qu’avant la pandémie.

La capitale allemande a fait de sa vie nocturne un puissant aimant à touristes, mais le monde de la nuit est aux prises avec l’augmentation des prix de l’énergie et sous la menace de nouvelles restrictions sanitaires.

Une enquête d’ITV News a révélé que moins de 10 % des billets sont revendus par des consommateurs sur Viagogo. Le reste l’est par des entreprises pratiquant de la “vente spéculative”, pourtant interdite.

Les services de streaming et les éditeurs de musique américains ont conclu un accord sur un taux de redevance autour de 15 %. Fera-t-il boule de neige dans d’autres pays ?

Bree Bowles détaille les objectifs de Kids & Family : “produire de la musique d’envergue internationale qui peut être appréciée à la fois par les enfants et leurs parents”.