Face à l’inflation et la baisse du soutien des collectivités, le Profedim en appelle au soutien de l’État : “Soutenir avec détermination le secteur culturel pendant la crise sanitaire n’aura servi à rien si l’on regarde sans agir les acteurs publics de la musique de création et de patrimoine – labellisés ou non – s’écrouler aujourd’hui, tel un château de cartes.”

Les montants collectés par l’Adami devraient s’élever à 85,5 M€ en 2022, soit +3% par rapport à 2021 et +6% par rapport à 2019. “Enfin du mieux”, se réjouit la société d’artistes interprètes.

Le DEPS, le Cepel et France Festivals présentent une cartographie des 7 300 festivals ayant eu lieu en France en 2019. Plus de 40% d’entre eux étaient des festivals de musique.

La fréquence de M6 sera prochainement attribuée par l’Arcom, et l’exposition de la musique, dans l’ADN de la chaîne, pourrait être remise en cause. Dans ce cadre, de nouveaux accords entre les producteurs de musique et le groupe M6 ont été signés.

À quel point l’industrie de la musique a-t-elle besoin de TikTok… ou l’inverse ? Telle est la question sur laquelle TikTok tente de peser à travers son expérience en Australie.

Ce rapport gouvernemental constate que la majorité des écoutes sur les DSP ne sont pas guidées par des algorithmes de recommandation. Il estime par ailleurs que les preuves indiquant que ces technologies intègrent, amplifient ou introduisent des biais injustes sont mitigées et parfois peu concluantes.

Malgré la vitalité des festivals en Afrique, ces derniers doivent réinventer leur modèle de financement face à la désaffection de certains partenaires institutionnels et aux frais de sécurité en hausse.

La musique est devenue un “actif rentable” : depuis 2018, des fonds d’investissement achètent pour des centaines de millions de dollars des catalogues d’artistes parce qu’ils considèrent que ces morceaux continueront à être écoutés par des millions de personnes d’ici 20 ou 30 ans.